Le nouvel album « EPITAPH » est prévu pour le 13 avril 2015.
Le quatrième album de Moriarty reprend le fil là où l’avait laissé « The Missing Room » (2011) : nous avons rouvert les malles pleines de bribes accumulées pendant des années, fouillé les fragments inachevés nés de tournées sans fin et de projets parallèles :
Il y avait des enregistrements au dictaphone de morceaux improvisés une fois et perdus ensuite, capturés dans les coulisses des théâtres, les chambres et les sous-sols (« G.I. Jesus », « Reverse »).
Dans le grenier d’une ferme, nichée au fond d’une vallée alsacienne, nous avions écrit et enregistré des histoires de femmes tragiques (« Milena », « Maybe (A Little Lie) »).
En roulant à vélo à travers Kyoto, nous avions improvisé à tue-tête l’histoire d’un homme déchu, « Ginger Joe » – puis enregistré une version de cette chanson en compagnie des sorciers cajuns Mama Rosin.
Il y eut aussi l’adaptation musicale du « Maître et Marguerite » de Boulgakov, une pièce radiophonique, qui donna naissance à six nouveaux morceaux (« Across From My Windows », « When I Ride », « Long Live The (D)evil », « Fire Fire »).
Enfin, au retour de trois ans de tournée, nous avons posé nos valises à Paris, et laissé émerger de nouvelles chansons (« History Of Violence », « Diamonds Never Die »…)
Dans le grenier d’une ferme, nichée au fond d’une vallée alsacienne, nous avions écrit et enregistré des histoires de femmes tragiques (« Milena », « Maybe (A Little Lie) »).
En roulant à vélo à travers Kyoto, nous avions improvisé à tue-tête l’histoire d’un homme déchu, « Ginger Joe » – puis enregistré une version de cette chanson en compagnie des sorciers cajuns Mama Rosin.
Il y eut aussi l’adaptation musicale du « Maître et Marguerite » de Boulgakov, une pièce radiophonique, qui donna naissance à six nouveaux morceaux (« Across From My Windows », « When I Ride », « Long Live The (D)evil », « Fire Fire »).
Enfin, au retour de trois ans de tournée, nous avons posé nos valises à Paris, et laissé émerger de nouvelles chansons (« History Of Violence », « Diamonds Never Die »…)
Encore une fois, nous avons été surpris de constater que ces chansons tournaient – de près ou de loin – autour du thème de l’au-delà, du passage d’un monde à l’autre, de la danse invisible entre les vivants et les fantômes. Souvent nous nous moquons de notre propre penchant incontrôlable à écrire des chansons funèbres, à transformer la musique en Totentanz, en danse des morts tragi-comique. Alors nous avons décidé d’appeler cet album Epitaph, pour moquer la mort, et pour croire qu’on peut danser avec.
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